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+ | Ainsi avec le numérique, la publication n’est plus le moment où le livre prend forme. | ||
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+ | On passe de processus centrés sur la publication d’objets à une mise en public de textes marqués par leur potentiel de “liquidité”. |
Version du 31 octobre 2017 à 16:04
(première partie à venir)
L’encadrement de la publication
Parler des étapes légales dans l’édition traditionnelle?
L'International Standard Book Number (ISBN) ou Numéro international normalisé du livre est un numéro international qui permet d’identifier de manière unique chaque édition de chaque livre publié, que son support soit numérique ou sur papier1. Il est destiné à simplifier la gestion informatique pour tous les intervenants de la chaîne du livre (imprimeur, éditeur, libraire, bibliothèque, etc.) https://fr.wikipedia.org/wiki/International_Standard_Book_Number
Changement de paradigme - De la publication à la mise en public
La publication dans le cadre de l’édition pré-numérique est surtout envisagée comme le moment où l’ouvrage est rendu disponible au public, fraîchement sorti des chaînes d’impression.
On a vu comme le numérique venait bouleverser la chaîne éditoriale de nombreuses façons, en remettant en cause la “linéarité’ de la production de l’objet, au profit d’une réticularité qui permet l’enrichissement du texte par rétroactions, contributions. Le texte peut évoluer, être sans cesse modifié, augmenté dans les paramètres fixés. Il peut aussi sans cesse être mis en lien avec d’autres textes, d’autres références. On parle d’édition continue, où le texte n’est plus forcément figé par l’instant T de la publication… ou par l’attente éventuelle de la réédition (réimpression de l’ouvrage, éventuellement corrigé, augmenté).
Ainsi avec le numérique, la publication n’est plus le moment où le livre prend forme.
De l’objet au texte - Le retour au primat du texte
L’édition a longtemps essentialisé l’auteur, le livre. Le numérique rabat les cartes et remet le texte au centre du processus d’édition, en ouvrant toutes sortes de possibilités d’écritures, réécritures, d’appropriation par le lecteur.
On passe de processus centrés sur la publication d’objets à une mise en public de textes marqués par leur potentiel de “liquidité”.